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 Sham Miller | "Sunrise" ☀ Apollo

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JunHo
Age : 19
Localisation : Camp Half-Blood
Date d'inscription : 19/04/2021
JunHo
MessageSujet: Sham Miller | "Sunrise" ☀ Apollo   Sham Miller | "Sunrise" ☀ Apollo Icon_minitimeDim 13 Fév - 17:10







I'll be my own sun, my own destiny.
Sham Miller
Sham ? I know that guy.

Prénom : Sham Miller.
âge : Dix-sept ans.
Lieu de naissance : Havana, le vingt-deux août deux-mille-cinq.
Nationalité : Cubaine, Britannique.
Orientation sexuelle : Bisexuel.
Situation : Célibataire.
Occupation : Peindre, la musique, la poésie, s'entraîner au tir à l'arc et les jeux de cartes.
Avatar : Lucas Till.
Parent divin : Apollon.
Défaut Mortel : La vanité.




Warmth


Sham est un homme caucasien aux cheveux blonds reflétant la valeur de l'or brut sous la lueur des reflets du soleil. Ses yeux sont d'un bleu d'une douceur rare amplifiée par les traits féminins et finement dessinée de son visage. Ses fines lèvres s'étirent en sourire jusqu'à former une fossette sur sa joue gauche. C'est indéniable, le jeune homme a été doté d'une physique favorisée des dieux, un sourire qu'il gracie à son entourage, sans condition nécessaire à ses traits. Sham sait à quoi il ressemble le visage assombri, il ne devient alors qu'un bel homme parmi tant d'autres. Sham à appri à sourire au travers de sa vie, tant que son intérieur reflète son extérieur, il restera rayonant dans toute situation. Le Britannique est un grand homme au physique finement dessiné, des traits proportionnels en toute part, une sculpture avoisinant celle des gymnastes pour laquelle il n'a jamais eu réellement à travailler. Pour une certaine raison, il est né sous une bonne étoile. Pourtant quelque chose d'aussi superficiel que son physique a jouer une part dans sa vie, que ce soit par les louanges qui lui ont été données que par les moqueries. Après tout, il est facile de le prendre pour un "beau gosse qui se la joue avec sa guitare et ses peintures". Une approche qui semble logique, personne n'apprécie un profil superficiel. Sham se donne à approcher les autres, sympathiser, plaisanter voire même compatir avec les autres, ce qui lui vaut le surnom de "social butterfly". Bien qu'il soit en toute honnêteté un homme sociable qui aime rependre sa bonne humeur, c'est aussi une nécessitée pour lui. Ne jalousez pas Sham, admirez Sham, il est l'ami de tous. Ce qui lui vaut son plus gros défaut, la vanité. Ce besoin constant de devoir être apprécié de ses pairs est un sub-conscient dont lui-même n'a pas encore connaissance. Ce défaut motive malgré tout son envie d'aider les autres ce qui le tourne rapidement vers la médecine. Quand il n'est pas à d'aide à l'infirmerie ou sur-le-champs de tir, son arc à la main, on le retrouve souvent à sociabiliser ou peindre sur des toiles, parfois gratter de sa guitare. Il sait se tenir occupé et utile, il n'y a que comme ça que Sham se sent complet. Il a sa propre vision du monde qui l'entour et n'hésite pas à le partager avec d'autres. Une pression qu'il s'inflige à lui-même pour être le meilleur, un besoin de se prouver à lui-même. Derrière ses airs jovials, libres et joueurs, se cache un grand sens des responsabilités. Après tout, on ne peut pas être le meilleur si on ne peut pas compter sur nous.


Palette

Havana, Cuba. 2005.

La mère de Sham est une jeune peintre qui avait parcouru le monde pour vendre ses œuvres peintes sur toile, elle vivait aussi de ses illustrations faites sur-mesure pour des couvertures de bouquins. Elle était tombée amoureuse de Cuba et de sa capitale, c'est là qu'elle rencontra le premier et seul amour de sa vie. Un homme blonde aussi beau et étincelant que le soleil que l'on ne peut fixer des yeux. Il la séduit et ils vécurent heureux ensembles durant un an. De leur amour, Sham Miller a vu le jour. Pour des raisons qui lui fut cachées durant des années, le père du jeune bambin avait prit le large pour ne plus jamais revenir. La seule chose dont Sham était certain en grandissant était que son père l'aimait, sa mère le lui répétait constamment. Mais en grandissant, un enfant se fait sa propre vision du monde, des choses et cette certitude devenait peu à peu un lointain souvenir dont il finit par ne presque plus se rappeler. Il grandit à Cuba jusqu'à ses sept ans. Aujourd'hui, il se souvient à peine des chansons de Biguine ou de Kompa sur lesquelles il dansait avec sa mère ni des chaleurs tropicales des caraïbes et de leur eau aussi chaude et douce qu'un nuage lorsqu'il se laissait emporter sur le dos, le corps exposé au soleil brûlant dans lequel il avait toujours trouvé un énorme réconfort. Le soleil brillait sur la Havane, plus tellement à Londres. Ce furent sûrement les années les plus dures de sa vie.

London, Great Britain, 2012.

Si Sham avait tous de suite remarquer quelque chose, c'est que la mentalité des enfants de ce pays était bien terne. Personne ne voulait dessiner des formes amusantes sur les graviers, deviner la forme des nuages ou encore trouver tout et n'importe quoi pour en faire des instruments. Le Cubain pouvait pondre toute une mélodie avec quelques cordes, des bâtons, des grosses pierres ou encore avec sa propre bouche. Mais ici personne ne donnait d'importance à la musique. La chaleur et l'insouciance de ses amis lui manquaient terriblement, c'est à ce moment-là que Sham avait compris que la solitude avait laissé un énorme vide en lui. Il avait l'habitude de rentrer chez lui couvert de peinture, rire, chanter, danser sans se soucier des adultes qui le regardait. Mais sa mère avait besoin d'argent pour les faire vivre et Londres était sa ville natale, là où elle pouvait bâtir de solides bases pour sa petite famille, même si d'une façon ou d'une autre elle avait toujours fait comprendre à Sham qu'il n'y resterait pas pour toujours. À cette époque, il pensait qu'elle ne disait ça que pour lui remonter le moral. C'est aussi à ses sept ans que le blondinet avait été diagnostiqué de TDAH et de dyslexie. Une chose de plus à ajouter à la liste du "garçon qui n'est pas comme nous". Ses facilités pour la poésie rendaient la dyslexie difficile à croire pour ses professeurs qui se demandaient si le jeune garçon ne simulait pas ses conditions, par manque d'attention. Des spéculations alimentées par des adultes fermés d'esprit qui valut à Sham la charmante compagnie d'une orthophoniste qui s'amusait plus à jouer aux psychologues qu'autre chose. Des sessions qu'il ne pouvait supporter. Elle parlait et parlait du fait que l'absence de son père et le changement de pays l'avait grandement affecté. Mais Sham ne faisait que dessiner durant les sessions, trouvant ces conversations d'un ennui mortel, il ne tenait pas en place alors il trouvait un moyen de se distraire lui-même. C'est dû au TDAH d'après la pseudo-psychologue. Mais la seule thérapie dont Sham avait réellement besoin était le temps passé avec sa mère.
Parfois, elle le laissait ajouter sa touche personnelle à ses peintures ou alors Sham commençait à peindre quelque chose et sa mère terminait le tableau. Il appréciait de pouvoir passer ces moments avec elle à discuter de tout et de rien, les yeux rivés sur la toile. Mais c'est le jour où ce fut à Sham de terminer la peinture que sa mère avait pleurée pour la première fois devant lui. Le blondinet n'était pas sûr de savoir quelles couleurs choisir pour terminer la peinture de sa mère. Elle n'avait tracer que quelques traits totalement aléatoires de toutes les couleurs. Le regard rivé sur son fils, elle lui dit simplement.

"Tu dois choisir ta propre palette maintenant."

Le pinceau en main, Sham, c'était exécuté, il n'avait même pas remarqué le temps passé ou le fait que sa mère l'avait fixé tout le long les yeux humides. Le visage couvert d'une trace de peinture, les mains colorées, la toile était simplement une explosion de toutes les couleurs, parfaitement en harmonie les unes avec les autres, quelque chose qui ressemblait à tout et à rien à la fois. À partir de ce jour, Sham était devenu sa propre personne, il se connaissait un peu plus.

Camp half blood, New York, 2016.

C'est trois jours après son onzième anniversaire que la mère de Sham l'avait réveillé au beau milieu de la nuit. Une valise à la main, un passe-port dans l'autre. Apparemment, Sham allait enfin quitter cette ville. Mais tant de précipitation le rendait nerveux, quelque chose n'allait pas. Malgré les efforts de sa mère pour avoir l'air le plus calme possible, le blondinet constatait, même à son âge que quelque chose était différent chez elle. Son regard parcourait chaque recoin de rue qui se trouvait sur leurs passage. Ils n'avaient pas pris le taxi, sa mère l'amènerait à l'aéroport sur sa moto. Sans aucun doute, il était assez enthousiaste à l'idée de partir en virée avec sa mère, mais quelque chose au fond de lui criait qu'il y avait anguille sous roche. Ses sens étaient aux aguets et il n'arrivait pas à se détendre le temps d'une seconde. Il y avait aussi le fait que sa mère roulait extrêmement vite. Arrivés à l'aéroport, ils se précipitaient jusqu'au point d'embarquement. C'est à ce moment-là que la seule personne sur qui il comptait dans sa vie lui avouait qu'elle ne viendrait pas. Que quelqu'un l'attendrait à New York pour l'amener dans ce camp pour les enfants spéciaux comme lui. Il crut qu'elle se débarrassait de lui. Qu'il avait sûrement dû faire quelque chose de mal. Mais ce sont les yeux humides de sa mère qui le fixait qui lui fit comprendre que ce n'était pas le cas. Elle lui assurait toujours garder un œil sur lui, mais que pour l'instant, ils devaient se séparer.

"Je te téléphonerais, je t'écrirais. Tu vas voir, tu vas aimer cet endroit. Choisis ta propre palette, rappelle-toi."

Deux mots suivaient cette phrase. Deux mots qu'il n'y avait pas besoin de dire à voix haute puisque Sham le savait, du plus profond de son cœur. Un baiser sur le front et sa mère se saisit de la veste de son fils pour partir et le jeune garçon embarquait dans le prochain vol pour New York, seul, pendant huit heures.

Ce n'est qu'à son arrivée que le blondinet apprit la vérité, sur les monstres, sur son guide satyre, sur son odeur et sur son père qui était un dieu de l'Olympe. Il comprenait maintenant pourquoi sa mère s'était emparée de sa veste, mais son inquiétude ne faisait que croître. Et s'il l'avait attrapée ? Deux jours plus tard, il fut revendiqué à la colonie des sang-mêlés. Un nouveau fils d'Apollon avait rejoint les rangs. Trois jours après cela, il eut les premières nouvelles de sa mère. Malgré le manque qu'elle avait laissé en lui, Sham avait rapidement trouvé une nouvelle maison, entouré des siens.

Camp half-blood, six years later.


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