RPG Percy Jackson HabboCity
 
-31%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer Lenovo 15” – RTX 4060 Core i5-12450H RAM 16 Go ...
824.99 € 1199.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Arina
Age : 21
Localisation : Russie
Date d'inscription : 27/11/2020
Arina
MessageSujet: Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓    Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   Icon_minitimeLun 24 Jan - 21:30

ARINA VOLTCHKOV
Âge : 18 ans
Nationalité : Russe
Parent divin : Chioné
Etat civil : Fiancée
Défaut mortel : Fierté
Pouvoirs : Cryokinésie et Enjôlement
Caractère

Froide comme la glace, fière comme sa mère. Pourrions-nous faire pire duo de traits de caractère?
Notre enfant de Chioné est tantôt arrogante, tantôt sarcastique, mais loin d'être agréable lors de la première rencontre.
Peu bavarde, sans expression, il est impossible de savoir ce qu'elle pense sincèrement si elle ne décide pas elle-même de vous en faire part. Peu avenante voire complètement sans scrupules vis-à-vis des inconnus, c'est pourtant l'exact opposé avec quelqu'un qu'elle porte dans son coeur - car elle en possède bien un-.
En amitié, Arina est une femme loyale, téméraire, et n'hésitera pas à venir aider une personne dans le besoin. Bien qu'elle n'exprime pas ses sentiments envers quiconque, il est possible de se rendre compte de son amitié ou de son respect puisqu'elle fera son possible pour vous protéger dans un tel cas. Que cela soit un acte direct ou imperceptible, elle trouvera le moyen de vous aider, sans pour autant vous faire comprendre que cela vient d'elle.
Hôte d'idées bien arrêtées, l'enfant des neiges suivra ses convictions jusqu'au bout, quoi qu'il en coûte, et ce même si autrui juge que c'est un acte désespéré ou mauvais.
Pacifique bien que bonne combattante, Arina est une digne fille de Chioné - mère qu'elle déteste pourtant de toute son âme-. Gare à vous par ailleurs si vous lui faites mention de cette ressemblance.

Histoire

"Ma très chère Arina,

Comme tu le sais, je suis malade. Et contrairement à ce que je t'ai raconté, c'est bel et bien grave.
Bien entendu, si jamais tu venais à l'apprendre, c'est parce que je ne serai plus là, et j'en suis d'avance désolé. Je souhaitais t'épargner des chagrins et de l'anxiété inutile, mais il semblerait que je n'ai pas été assez fort..."

Je pourrais vous conter l'entièreté de cette lettre, mais je n'ai nullement envie de tout vous divulguer, ni envie d'en discuter maintenant.
C'est par ce biais que j'ai appris que j'allais désormais vivre avec mon parrain, Alekseï Voltchkov. Un homme détestable, mais il ne le savait pas je présume. Si père le savait, alors je le hais.

Au moment où j'ai lu cette lettre, j'étais dans un chagrin tel que je ne put même pas lui en vouloir. Après tout, je venais de perdre un être cher. Mais si aujourd'hui je venais à subir une situation pareille, croyez-moi que je l'aurai sorti de sa tombe, et l'aurais tué une seconde fois. Et j'espère qu'il aurait encore plus souffert qu'au départ.
Tout cela peut bien vous paraître cruel; rien ne m'est plus égal. Vous n'êtes même pas censé lire ceci.
A cause de cette lettre, ma vie a complètement changé. J'avais 8 ans à cette époque-là, et heureusement pour eux que je n'avais que cet âge. Il y aurait eu bien plus de dégâts que prévu initialement.

Je me suis retrouvé chez ce parent qui aux premiers abords était tout ce qu'il y a de plus banal : un homme célibataire, en pleine fleur de l'âge, qui profitait de ses jours avec le plus d'ardeur possible.
Un peu trop d'ardeur, si vous voulez mon avis; car pour un simple mortel, il en prenait beaucoup, des risques.
Et moi, si jeune, je ne comprenais rien à ce qu'il se passait. Je venais d'emménager, on me proposait nourriture, hébergement, que demander de plus ? Mais malgré ma timidité, quelque chose me poussait à vouloir voir le monde. Parfois, l'envie me prenait de faire ma valise au plus vite, et de filer, pieds nus, dans la neige froide qui entourait le manoir et de m'enfuir le plus loin possible.

J'eut ce courage une fois. Je l'ai regretté bien vite.
Et la descente aux enfers commença.

Je ne sut jamais si mon comportement en était la cause, mais il avait subitement changé, ce jour là. Colérique, froid, impressionnant. Juste après m'avoir retrouvé, il se mit à me battre.
Au fur et à mesure du temps, je m'y habituais. Plus rien ne faisait vraiment mal, du moins physiquement. Il ne semblait pas s'en rendre compte, à croire qu'il faisait uniquement ça pour se soulager lui plutôt que de me blesser moi.
"Ne sors plus, Arina, tu dois être une bonne jeune fille", avait-il dit. Et moi j'acquiesçais bêtement, comme le bon toutou dressé que j'étais à cette époque-là.
Les cicatrices s'accumulaient sur mon dos meurtri, et tout cela devenait de moins en moins supportable. Mon coeur me criait parfois de me débattre, de frapper à mon tour, mais à 12 ans désormais, que pouvais-je faire?
Je n'allais plus à l'école, je ne connaissais plus personne susceptible de m'aider et les uniques adultes que je côtoyais étaient des femmes aux allures douteuses dont j'ai compris quelques années plus tard l'activité. Celle de mon parrain avec.
Et puis un jour, peu avant mes treize années, je répliquai. Rien de bien impressionnant, bien évidemment, mais je me disais que quitte à prendre des coups, il fallait que je me fasse moins docile, peut-être même insupportable au point de me jeter dehors? J'ignorais à quel point le monde était cruel, qu'énerver autrui ne le faisait pas nous jeter dehors.

Plus le temps passait, plus l'on se disputait, lui et moi. Je le sentais devenir plus violent, d'autant plus incontrôlable. Et la seule chose que j'avais la possibilité de faire, c'était de rendre ou de subir. Mais plus je rendais, plus mes blessures s'aggravaient, et je savais que tantôt, c'était bien dehors que j'allais finir, mais pas vivante.

Mes 14 ans arrivèrent bien plus vite que prévu, et ma détermination qui avait chutée revint en flèche. Un jour, encore, j'avais tenté de prendre à peine un petit sac d'affaire et j'avais commencé à descendre les escaliers, quand je le vis. Sur le coup; son visage avait changé du tout au tout, se déformant dans la rage et des veines naissant sur son front et son cou. Aussitôt, je m'étais détournée de mon chemin et m'étais mise à remonter les escaliers, mais j'ai vite compris qu'il ne suffirait pas que de remonter sagement dans ma chambre.

Il se mit à courir vers moi, et moi, prise de panique, je me mise à courir également. Je manquai une marche, et dégringola les escaliers jusqu'à l'atrium.
Peut-être par chance, peut-être par miracle, je n'avais pas grand chose, mais il était déjà presque face à moi.
Etant la plus proche de la porte d'entrée, je saisis ma chance. Je me redressais de tout mon long, et fuyais jusqu'à l'autre bout de la pièce.
Mais il était bien trop rapide, bien trop fort pour que je ne puisse quoi que ce soit.
Sa main agrippa mon sac à dos, et il me jeta plus loin afin que la porte de sortie me soit hors d'accès.

De part son expression, je savais bien ce qu'il m'attendait, et je priais aussi fort que je le pouvais. Mais je savais qu'il ne se passerait rien, que mon seul salut serait ma bravoure - si tant est que j'en ai eu une à ce moment donné-. Ni une, ni deux, mon pied droit s'abattait contre son nez, mais cela ne fit que le mettre plus en rage encore. J'eut à peine le temps de me relever que j'étais déjà plaquée contre un mur, paralysée par la peur.
Peut-être était-ce l'appel de ma véritable nature, que sais-je ? Mais mon genou atteignit irrévocablement ses parties afin de me dégager, et c'était sûrement là un des plus beaux gestes de ma vie entière.
Je pris mes jambes à mon cou, mais ses mains retinrent mes jambes et je tombais à nouveau piteusement à terre.

Mais cette fois, j'eus à peine le temps de me retourner qu'il était déjà sur moi, les deux mains visiblement gluées contre mon cou.
Je ne prit qu'à peine le temps de suffoquer; tellement de pensées se bousculaient dans mon esprit à ce moment-là. Et à peine ses pensées défilaient que je sentais déjà ma vision se troubler. Mes petits muscles bougeaient à peine. Après tout, une pauvre adolescente face à un homme d'une trentaine d'année, c'était tout vu.
Tout s'évanouissait autour de moi, et je pensais même halluciner, car je voyais des choses imaginaires.
Oh, aujourd'hui, je sais bien d'où tout cela vient. J'ai vécu assez de phénomènes que je croyais impossible pour savoir que je n'hallucinais pas. Mais la petite Arina de 14 ans, qui voyait subitement des flocons de neige partout, elle, le croyait.
Ces mêmes flocons qui, subitement, atterrirent dans sa petite main crispée par la douleur.
Et paf, plus de neige.
Plus un seul flocon de neige.
Mais à la place, une merveilleuse dague, qui, bien qu'elle soit faite de glace, ne me brûlait aucunement la peau.

Bien sûr, je n'eut le temps de penser. C'était là mon salut, et que cette dague soit surnaturelle ou irréelle, il fallait bien tenter le coup.
Et celle-ci s'abattit contre sa carotide, dans un bruit atroce dont je ne pourrais que me souvenir. Le poids de cet homme m'écrasait, et il criait, contre mon oreille. Jamais je n'ai compris un traitre mot de ce qu'il avait dit. Je voyais sa bouche bouger; pour moi il criait, c'était ainsi.

J'ai mis bien longtemps à trouver la colonie après cet incident. Personne ne m'avait parlé de ma véritable nature, il fallut que je fasse mes propres recherches après avoir constaté l'évidence : une dague de glace m'avait sauvé la vie. Et elle était apparue comme par magie.
Je suis arrivée chez les sangs mêlés à mes 15 ans, soit un an de recherche à vagabonder piteusement dans la rue, à vivre de la mendicité et de la chasse en forêt.
Entre deux, mon caractère s'était forgé, et j'étais devenue celle que je suis en écrivant ces quelques mots.
A vrai dire, je ne me souviens même pas pourquoi j'ai entamé l'écriture de ces faits. Peut-être que pour entamer ma nouvelle vie avec lui, je me devais de tourner définitivement la page ?
Et me voilà, me posant des questions à moi-même. Pitoyable.


La fin du parchemin semble détériorée.

ft. personnage de série / artiste

Carnation : Blanche, très pâle
Taille : 1m73
Corpulence : 61kg
Cheveux :   Arrivent près de la poitrine, ondulés, d'un blanc immaculé
Yeux : Bleus azurs
Signe(s) distinctif(s) : Cicatrice sur la joue gauche

 


Revenir en haut Aller en bas

Neehra
Localisation : Quelque part en Écosse
Date d'inscription : 25/11/2020
Neehra
MessageSujet: Re: Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓    Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   Icon_minitimeMar 25 Jan - 10:37

🤍🤍🤍
Revenir en haut Aller en bas

Ackles
Age : 18
Localisation : Bungalow Apollon
Date d'inscription : 22/11/2020
Ackles
MessageSujet: Re: Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓    Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   Icon_minitimeMar 25 Jan - 20:36

Ma douce Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   1f49e Je t'aime ta fiche est si belle !!
Revenir en haut Aller en bas

Vernal
Age : 20
Localisation : où somment les âmes.
Date d'inscription : 22/11/2020
Vernal
MessageSujet: Re: Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓    Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   Icon_minitimeVen 28 Jan - 14:23

love you
reine de l'hiver <3
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓    Arina Voltchkov - Queen of Winter.  ✓   Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Arina Voltchkov - Queen of Winter. ✓
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Arina Voltchkov - Daughter of Chione ✓
» Arina Voltchkov ❄ Fille de Chioné ✓
» Arina Voltchkov - Fille de Chioné. [✓]
» syara blackwell, daugther of arès, queen of déicides ♛ ✓
» syara blackwell, daugther of arès, queen of déicides ♛ ✓

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
RPG Percy Jackson HabboCity :: JEUX & DIVERS :: Archives :: Présentations [2022]-