Lucian Asjugvashkir - Enfant de Nikse - Zagreus / Cade / Adam / Lazwald à jamais les sangs ✓

Lucian Asjugvashkir

Physique

Lucian est un garçon de onze ans, n'est-il pas mignon ? Il a l'air tout gentil mais croyez-le ou non, il est destiné à être frais plus tard. Il mesure pas loin des 1 mètres 60, il lui manque quelques dents et a tout les éléments pour être "gucci". Des cheveux bouclés marron, un regard débile avec ses yeux bleu et des oreilles cachées par ses bouclettes Dieu merci parce qu'elles ont l'air gargantuesques, aussi large que le front de Yumi dans Code Lyoko.

Il est physiquement lambda, c'est un gamin, ne lui demandez pas de soulever une chaise avec ses mains putain il va se casser le dos. Il est tout frêle, de petits bras, de petites jambes, petit de taille... Y'a rien qui va chez ce petit con tout de même.

Caractère

Il est lui-même convaincu de n'être qu'un erreur bien que cela ne transvase aucunement dans son comportement. Son père l'a élevé seul et faut dire que Lucian était un casse-cou, bêtise sur bêtise, son père et son oncle lui répétaient à tue-tête qu'il n'avait aucune utilité en plus d'être un sacré emmerdeur. En grandissant, Lucian se demandait et continue de se demander si sa venue au monde était le fruit du hasard ou bel et bien pour être la parfaite incarnation de l'allégorie de l'erreur. On lui a rappelé tant de fois qu'il est convaincu d'être une chiure. Heureusement que comparé à sa cousine Alice, il ne s'est pas sucidé après avoir passé la nuit sous la pluie toute nue.

On peut dénoter deux Lucian, un de jour, discret, solitaire et bon-vivant même s'il a du mal à s'exprimer correctement et à tenir une discussion.. La nuit, davantage maître de lui-même même si ses pertinentes questions existentielles gardent le dessus sur lui. En colère sans raison, distant et parfois amer. Je vous suggère de le côtoyer de jour.

MAJ - Depuis son épreuve de Deimos et l'altercation avec God of Speed, Lucian jour et nuit ne font plus qu'un formant Lucian éclipse, un mélange d'enjouement et de sombritude.

Histoire

La naissance de Lucian, bref. Un père vivant du commerce de plage, il n'avait pas toujours l'argent pour subvenir aux besoins du fils unique qu'était Lucian. Dans son monde, il faisait ce qu'il voulait quand ille voulait, à l'école, il piquait des craies pour les jeter sur les filles de son école : il trouvait ça drôle. Il renversait les carafes d'eau sur les filles avec qui il était disposé à manger : c'était rigolo. Il faisait des croche-pieds aux garçons plus rapides que lui à l'école : il trouvait ça gratifiant de gagner à la course. Il volait des stylos à ses camarades : il voulait tous les avoir. Bon nombre de fois, son père dût fermer la boutique pour récupérer son fils à l'école qui n'était pas fichu de se tenir calmement une putain de journée. Il était hyperactif, très hyperactif mais trouvait son bonheur là-dedans. Le jour du magasin était la goutte de trop. Son père, Braverick, devait e fournir lui-même en ingrédients pour produire ses churros... Déjà qu'il avait du mal à tenir son fils, le magasin était un véritable supplice, pour éviter un de ses caprices ou pire encore, d'avoir à subir le trait lunatique de sa personalité, il lui prenait toutes les confiseries possibles. Toutefois, cette fois-là était particulière... Faute d'inatention, Lucian voulut jouer un tour à son papa : il s'était caché quelque part dans le magasin. Son père se rendit compte de l'absence à son fils et se mit à le chercher, il refit le chemin plusieurs fois, allers et retours, demanda aux clients si quelqu'un l'avait vu, la totale... Il pensa au début qu'il avait disparu ou qu'il avait été kidnappé puis il se rappelait de l'espièglerie de son fils : il vit rouge alors que Lucian riait à en pleurer. Braverick, demanda à faire un appel au micro pour que son fils entende clairement ce qu'il avait à lui dire. Braverick fit quelques tests de micro pour être sûr que tout le magasin l'entendait.

"Lucian... Lucian tu m'entends ? Je sais que tu m'entends. JE VAIS TE FOUTRE DANS LA PUTAIN DE GAZINIÈRE SI TU CONTINUES A JOUER AU CON ! TU FAIS TOUJOURS LE CO A TON PÈRE ET A TA MÈRE, ON A PAS LE TEMPS POUR TES CONNERIES : SOIT TU VIENS, SOIT TU DÉGAGES ! TU DÉ-GA-GES ! MON COMMERCE ET MOI N'AVONS PLUS BESOIN DE TOI, T'ES UN ENFANT GÂCHÉ, T'ES UNE MERDE ! SI JE TE RETROUVE LUCIAN, JE VAIS TE TUER ! T'ES UN HOMME MORT LUCIAN ! T'ES UN GAMIN MORT ! T'ES UN HOMME MORT ! TU M'ÉNERVES !"

Les complaintes de son père au micro devant 160 personnes ont eu l'effet d'une bombe, les agents de sécurité retirèrent du micro le papa un peu énervé en lui demandant de ne pas avoir de tels propos envers son fils. Ce dernier protestait et rouspétait en leur disant qu'il élevait son fils comme il voulait. Lucian, n'avait certainement pas l'âge pour comprendre, mais ces mots, d'une rare violence, d'une rare colère, d'un rare mécontentement, avait attrapé Lucian à la gorge. Après cinq minutes, Lucian retrouva son père, furieux et le tira par le bras avec une rare violence, l'encastra dans le vanne qui servait de voiture et lui colla une patatedans la bouche au point d'en faire tomber quelques dents... Les passants, outrés d'une rare violence, continuaient leur chemin jusqu'à ce qu'une femme reconnut le sarouel et les claquettes du vendeur de churros de la plage... En une traînée de poudre, plus aucun client ne vint chez un père qui battait son fils... Lucian s'était un peu calmé mais ses envies reprenaient le dessus tout comme vinrent ses mauvaises notes... Quand on lui demandait pourquoi n'arrivait-il pas à écrire : "c'est parce que mon père me déteste." Pourquoi ton papa te déteste : "il pense que je suis un enfant gâché". Mais ça n'explique pas pourquoi tu as des problèmes de dyslexie à l'école : "c'est parce que mon père boit." Peu à peu, les services sociaux, les regards suspicieux et l'alcool devinrent les meilleurs amis de Braverick, lassé de son fils, il lui fit faire ses valises et l'emmena chez son oncle. 1 heure après être arrivé chez son oncle pédiatre, l'oncle passa le téléphone à Lucian, son père voulait lui dire deux mots. Au départ, le bruit de la communication, soudain, un départ d'enregistrement d'un dictaphone qui répétait le discours qu'avait eu son père tout en insistant lourdement sur le fait que Lucian n'était que le fruit d'une relation d'un soir et un fils de pute... Durant tout l'appel, on entendit le frottement du plancher, comme si on poussait une chaise, le grincement des gonds de l'immense porte, le bruit d'une cravate qu'on noue, qu'on passe sur le haut de la porte, et une fois la mise en scène établie :"J'ai souhaité te voir mort à la naissance" accompagné d'un "tac", sûrement le dictaphone puis un claquement de porte tandis qu'on ouïssait la personne au bout du fil : au bout d'une corde en train de s'étouffer.

Son père s'était pendu et rien n'allait s'arranger... Lucian connaissait les malheurs de Sophie mais ne pensait pas que ça allait lui arriver. Il se détestait, il se haïssait et commençait à avoir une estime de soi si basse, aussi sombre que l'obscurité d'une grotte. Son oncle avait des posters de petites filles mineures nues, c'était étrange et Lucian trouvait ça un peu drôle, puéril pour son âge me dites-vous... Mais notre petit bonhomme était toujours en proie avec lui-même, depuis quelques temps, la nuit lui portait conseil et appréciait crier au loup la nuit... Quitte à ce que ça réveille son oncle... Mais ce dernier avait d'autres projets, le soir, avant qu'il aille se coucher, son oncle lui apportait une biscotte tartiné, c'était visqueux et peu alléchant, quand Lucian demandait ce que c'était, son oncle lui répondait de la marmelade au litchi... Lucian s'était déjà brossé les dents et ne voulait pas de sa biscotte mais son oncle se montrait un peu plus persuasif : il lui caressait les cheveux, la nuque, le nuque, ça chatouillait Lucian mais qui n'avait pas vraiment conscience de ce qu'il était en train de se passer... L'index du pédiatre approchait la poitrine, glissant son doigt à l'intérieur jusqu'à ce que le petit garçon, tordu de rire, finisse par faire tomber l'assiette ainsi que la biscotte sur la biscotte. L'oncle gifla le gamin en répétant les mots de son père : "petite merde... Rejetté... Tu vas voir..." Pendant un mois, de petits jeux entre Lucian et son oncle à base de "yeux bandés" : "Touche la banane" ; "Attrape la sucette" ; "Biscotte et sa marmelade de litchi"... L'instant de trop, c'était quand le pédiatre essaya de baisser le pantalon du petit garçon mais mauvais timing, le livreur de pizza ananas/concombre/guacamole ouvrit la porte et vit la scène... Tel un héros, il gifla l'oncle pédophile qui avait le sexe à l'air, prit Lucian et retira son foulard autour des yeux pooçur l'emmener loin très loin... On ne sait pas comment cette histoire s'est terminée entre le livreur et Lucian mais une chose était sûre : la pizza était putain de dégueulasse comment on peut manger ça. Depuis, ce livreur ne pouvait pas s'occuper du gamin mais venait le voir de temps en temps, il l'avait laissé dehors, dans un parc. Un soir, le livreur vint récupérer le gain et l'emmenait faire le tour avec lui de la ville en déposant les pizzas à chaque adresse... C'était génial et Lucian appréciait beaucoup, faut dire qu'autant que le livreur que Lucian étaient de vrais casseurs de couille. Ils mangeaient certaines pizzas quand les clients répondaient pas, certaines finissaient par terre... Mais bon, jusqu'à ses 11 ans, c'était magique même s'il vivait la plupart du temps dehors. Le livreur changea de métier et de ville et Lucian se retrouva seul, Lucian lui-même ne sait pas comment il a fini dans les environs de la Colonie, il s'est juste assoupi dans un coin, la nuit nègre.

MAJ - Lucian, son aventure sur Ogygia et parmi les Demi-Dieux lui ont appris beaucoup de choses... La fraternité profonde (il ne remerciera jamais assez Zagreus, Cade, Adam et Lazwald pour ça), l'existence des femmes (Irène<3) mais aussi sur lui-même (Lucian jour et Lucian Nuit), surmonter les défis et les combats quels qu'ils soient (Lucian vs Le Dieu des Choix)... Lucian a une grande estime pour ces quatre personnes qui constituent les "fondations" de ce que Lucian peut être aujourd'hui. La lecture de "RENAISSANCE POUR UN ALLEGEMENT MUTUEL 2" est essentielle pour espérer comprendre les changements de Lucian

Pouvoirs

UmbrakinésieVol d'OmbreCycle 3

Trivia

- Lucian adore les loups bien que tous les animaux nocturnes le séduisent.
- Lucian préfère la pizza cannibale.
- "Avoir fait les 400 coups" n'est pas qu'une expression pour Lucian.
- Lucian est distant mais fait genre d'être sociable.
- Lucian a horreur depuis certains évenements.
- Lucian ne mange plus de biscotte.
- Lucian déteste les bonbons, les bananes et les litchis.
- Lucian crache sur le blanc, il hait ce contraste.
- Lucian bégaye quand il parle, il peut hésiter entre dire "Bonjour" ou "Salut".
- Lucian est convaincu d'être une merde.
- Lucian a déjà eu un chien qui s'appelait Fincher, il lui a donné du chocolat par inadvertance et il en est mort.
- Lucian n'a jamais vécu en présence de femmes, de vraies femmes. Les mineures ne comptent pas...
- Lucian adore manger du pain... Sans qu'il n'y est rien dedans.
- Lucian a déjà eu un meilleur ami nommé Garry, lunatique comme il est, il lui a fait subir les pires crasses parce que c'était marrant.
- Lucian adore le prénom Yannis bien qu'il trouve que "Eloim" dégage une fraîcheur cosmique.
- Lucian a déjà écrasé le crane d'un rat et mit le corps dans le tee-shirt d'une fille de sa classe.
- Lucian n'a pas conscience de son défaut mortel, ni qu'il est spécial. Pour beaucoup, on l'appelle le "trisomique" ou "l'attardé de service".

MAJ -

- Lucian a donné à Zagreus Holloway dit Zack un dessin, il l'a remercié puis il est parti. Zack aura la ref.
- Lucian est devenu amnésique, c'est une sorte de boucle bouclée avec ce qu'il est, a été et ce qu'il compte devenir.
- Lucian a battu le Dieu des Choix dans un pierre-feuille-ciseau mortel.