RPG Percy Jackson HabboCity
 
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 ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler ✓

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Mephistopheles
Age : 20
Localisation : Camp des sang-mêlés.
Date d'inscription : 28/11/2020
Mephistopheles
MessageSujet: ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler ✓    ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler  ✓   Icon_minitimeDim 23 Jan - 18:22



NOM : LALECZYNSKI ▬ PRÉNOM(S) : Seryozha ▬ SURNOM(S) : "Sacha" ▬ ÂGE : 17 ans ▬ DATE DE NAISSANCE : 2 février 2004 ▬ NATIONALITÉ : Anglaise ▬ PARENT DIVIN : Nyx ▬ AVATAR : Jake Bugg ▬ POUVOIRS : Umbrakinésie & Ombre vivante ▬ ARMES: Glaive en fer stygien & Bouclier en bronze céleste
Seryozha « Sacha » Laleczynski
Introduction ...De tous les comptes de fée, le pire est surement celui de Pinocchio. L'enfant qui fut las, ici et là. La gangue de bois couvre l'esprit et l'âme d'un nouveau né. Un célèbre écrivain français, J-J. Rousseau disait: « Toute méchanceté vient de faiblesse ; l'enfant est méchant que parce qu'il est faible ; rendez-le fort, il sera bon. ». Car l'enfant apprend des autres, il est le souvenir des autres et il apprend de ses souvenirs. C'est en 1958 que Harry Harlow s'intéressera à la psychologie de l'enfant et découvrira que, au dépend de l'éducation, qu'elle puisse être étroite; rigoureuse; strict, l'enfant nécessite du bien de celui qui l'élève. Il dira même « Le peu que nous savons sur l'amour ne dépasse pas la simple observation, et le peu que nous en écrivons a été mieux écrit par des poètes et des romanciers. » Car nul autre même s'il songe, puisse autre que lui même connaître le produit de son actuelle personne. enfant de la nuit, pousse en son sein les racines du chaos et du mal...
keep trying to understand me
Première partie Le docteur Sumner vient de rentrer chez lui, il est était environ neuf heures du matin quand il est venu me voir pour une énième consultation à propos de mes ecchymoses qui réapparaissent à répétition sans que je ne puisse leur dire pourquoi. Il est faible de taille et doit au moins avoir une cinquantaine d'année, un peu comme mon père, enfin mon père lui atteignait la quarantaine. Il était comme d'habitude affublé par un veston épais de cuir à couleur marron, une cravate bleue et blanche, une chemise, un pantalon gris et des chaussures noires, une chevelure épaisse et brune comme un chanteur de Madchester et tout un équipement de docteur à l'intérieur de son sac lui aussi en cuir marron. La conclusion est encore la même. « Ces blessures proviennent certainement de collisions, peut-être que votre enfant est tombé, peut-être qu'il s'est cogné, peut-être même qu'il s'est bagarré, qui sait, mais elles sont bégnines et sans importances, dorénavant n'hésitez pas à le surveiller, peut-être qu'à faute d'inattention vous découvrirez peut-être la raison de tous ces petits bleus. » que je l'entendais dire en provenance de la cuisine bien que je me trouvais dans l'autre pièce à regarder la télévision sur le sofa bleu chétif de Papa. Moi je n'étais qu'un enfant de huit ans lors de toutes ces visites qui durèrent entre la période de février à mars 2012. Je dois vous dire que même moi je ne détiens que peu de souvenirs des choses qui advenaient et qui marquaient mon corps sans-cesse, ou du moins, ces choses s'évincèrent dans le temps de ma mémoire.

Chaque samedi après l'école mon père m'emmenait près de Rossendale, une bourgade au nord de Manchester où je me retrouvais dans mon environnement à moi. Mes souvenirs d'enfants posent mes yeux sur les collines des Pennines où je m'amusais et où je me perdais, un champ – un vaste champ exposé au sud sur le flanc d'une longue colline qui plonge au creux d'une vallée luxuriante, abrité par des haies touffues d'aubépine et de noisetiers et le soupçon de fraîcheur d'une brise et d'un ciel gris qui nous nourrit d'embruns. Plus vers l'est où je me dirigeais à chaque fois sur un chemin terreux se trouvait la statue d'un Ange fait d'or, les bras baissés et la tête voûtée en direction du chemin entrant vers la forêt de Rossendale. Pour tout vous dire, je n'ai jamais cru en Dieu, mes expériences idiosyncrasiques me prouvaient un contraire plus amer, celui que seule l'aide ne puisse être portée à celui qui s'y démenait sans quémander. Benjamin Franklin lui même disait « Dieu aide ceux qui s'aident eux-mêmes. » Il m'a été toujours évident que Dieu nous mentait, et peut-être puisse-t-il être dangereux de dire ça, je l'ai appris à mes dépends. Le prolongement de cette vie nécessitait un changement auquel Dieu n'y faisait rien.

Mon père eut une sœur de six ans de moins que lui qui était mariée et avait même des enfants en bas âge. Leur famille nous rendait visite certains week-ends aux pieds du ferry faisant Liverpool - Manchester que j'avais d'ailleurs hâte de pénétrer mais qui m'était rendu impossible par les craintes de mon père. J'enviais ma tante pour ça. D'ailleurs elle fut pour moi la mère que je n'ai jamais connue.

Mon père d'ailleurs taisait souvent quoi qu'il arrive quoi que ce soit au sujet de ma mère, la question ne se posait même pas d'ailleurs, c'était un sujet qu'il fallait effacer, et dorénavant, tout ce que j'étais apte à comprendre étant enfant c'est qu'au final un enfant et un père sans une mère et que peu importe ce qui est dit des autres, il pourra et sera élevé seul sans aucune ambivalence, c'était un principe qui n'avait ni question ni réponse, elle ne se posait pas car elle devait être évidente, cependant la jeune sœur de mon père était en partie la réponse de mes interrogations. Ensemble nous jouions, nous nous amusions nous nous baladions quelques fois le long de la rivière Irwell qui transcendait Manchester comme une couronne. Elle était d'ailleurs plus bavarde que mon père.
Elle fut ma confidente, d'ailleurs amusant peut-être mais je crois que c'est surement la première fille pour laquelle je sois tombé amoureux. Peut-être étrange dit de cette façon mais elle était tout de cette fille que je recherchais, à qui je pouvais parler, m'amuser, tout était toujours mieux que ce qui se passait de toute évidence à la maison. Nos discussions tournaient d'ailleurs souvent sur des questions existentielles et des sciences ontologiques autour du plaisir, du bonheur, de qu'est-ce qui défini notre personne, nos perceptions, nos goûts. Elle me parlait de sa jeunesse, je lui contais mes craintes et elle solvait le problème de la peur qui me hantait. Ce serait sans exagérer ce que je pourrais considérer comme cette mère qui est celle dont les gens parlent, et à défaut du peu de mes interactions, elle était elle là pour combler les vides et me recueillir en me berçant de profonds réconforts.

Seconde partie

« J'ai la certitude qu'on ne naît pas mauvais mais qu'on le devient. Et là où vous avez tort, c'est de croire que le mal est facilement reconnaissable. Il arrive qu'il soit juste en face de nous et qu'on ne s'en rende même pas compte. »

En mûrissant, si l'on peut dire comme ça, le temps frappait en rebondissant dans les parois de ma tête comme un bruit répétitif. Un enchaînement de remords et de regrets. Comment est-ce que ça a pu se passer comme ça? Longtemps je fus source d'une candeur d'incompréhension enfantine, mon esprit et mon corps ne fut dévoué que pour l'art et les choses qui m'attiraient, longtemps mon regard fut porté sur les allures pittoresques de mon environnement qui lentement dans ma tête était remplacé par les images sombres de ce qui avait été préférablement oublié.

On dit que l'insouciance aggrave les problèmes, elle ne solutionne pas les défauts. La mienne était de voir, savoir, pouvoir et de ne rien faire. Je n'ai jamais rien dit. Je ne me suis jamais exprimé. Un peu comme cette histoire où une fille a vu sa mère prise de convulsions et s'écrouler parterre à cause d'une rupture d'anévrisme, et à défaut d'appeler les secours, elle s'est mise en boule à attendre son père pendant une heure qu'elle puisse elle aussi être secourue. Il est toujours plus simple de dire que quelque chose aurait pu être fait ou que quelqu'un aurait pu agir dans une telle situation, c'est que maintenant que les choses me reviennent. Je me tape la tête je me tape la tête je me tape la tête et je reviens sur la même séquence.

Mon père lui était un jeune sénile de cinquante-six ans, il est né le 7 décembre 1963 et il réside dans la même ville que celle où il réside encore actuellement. J'y réside toujours d'ailleurs puisque mon père est toujours mon tueur légal avant que j'atteigne ma majorité. Il fut élevé tout comme ma tante dans une famille assez aisée. Ce n'était pas du tout la même chose à cette époque, il y avait une vraie rupture entre ceux qui s'étaient vu conférés un statut spécial et ceux qu'on désignait comme des mauvaises familles. Dorénavant il n'était pas d'une d'elles. Il a grandi dans les plus belles époques de Manchester bercées à coup de New Wave, Cold Rock et les évolutions de la musique explosives qui sont encore quelques fois visibles chez nous, dans notre patelin. D'ailleurs mon père voulu être lui même un musicien pour un groupe de Madchester qui était une mode de la New Wave qui font pondue à Manchester comme nouveau style de Rock. C'est d'ailleurs pour cette raison que mon père collectionne les vinyls de groupes comme Joy Division, New Order, The Stone Roses, et d'autres groupes dont j'ai oublié le nom.

Mon père était différent de moi, il n'était pas l'enfant que je suis et il a bénéficié d'une famille entière et bien composée. Il eut lui une mère qui l'aimait et qu'en retour il aimait et d'un père qui l'aimait et qu'en retour il aimait, sa soeur l'aimait et en retour il l'aimait et sa grand mère l'aimait comme en retour il l'aimait et un grand père qui l'aimait comme il aimait son grand père. À défaut, j'eus peu de chances d'arriver dans une famille qui n'était que celle de mon père et où je n'eus que lui à aimer qui n'était pas vraiment le cas et qui expliquerait certainement ma relation avec sa soeur Victoria. Sa soeur elle aussi donna naissance à des enfants qui aimèrent leurs parents comme eux les aimèrent et des grands parents qu'ils aimèrent comme eux les aimèrent. Il fut un besoin absolu pour quiconque de partir à la recherche de leurs racines et de comprendre d'où est-ce que le mal s'est dévoilé.

Troisième partie

Il pouvait être onze heures quand je suis rentré chez moi ce samedi là, j'étais sorti pour aller m'acheter quelques choses dans une épicerie, il n'en su rien d'ailleurs, je rentrais depuis une marche débutée trois heures plus tôt. Je manifestais cependant une hâte de demander à mon père si j'allais pouvoir lui emprunter quelques de ses objets de manufactures pour contribuer à mon projet personnel qui trainait depuis quelques mois.

Cette fois ce n'était pas son père qui m'attendait dans le salon mais un jeune homme à la peau blanche caucasienne, la chevelure en avant, un front large, un peu comme sa mâchoire, un long nez lui aussi, des bras musclés et une tenue inadéquate. Ou alors c'était l'impression de sa morphologie qui donnait cette allure. Il se retourne vers moi et m'apostrophe d'un geste de la tête pendant que je reste tétanisé sur place dans l'embrasure de la porte. Au contraire de moi, ses yeux étaient bleus un peu comme ceux de Victoria, son teint à lui par contre était jaunâtre tandis ce que celui de Victoria était blanc.

– Écoute moi, je comprends que ça va être difficile pour toi de comprendre ce que je vais te dire, mais on doit tout de suite partir parce que tu es attendu dans un endroit plus lointain que celui-ci et on est pas en sécurité ici, donc on doit vite partir. songeait-t-il en levant une main comme pour me mettre en garde. Je ne comprenais pas vraiment, c'est vrai on se dit souvent quand on regarde un film d'action "si ça aurait été moi j'aurai fait quelque chose, je l'aurai suivi, c'est évident", mais je vous jure que quand c'est vous c'est différent.
– Je comprends pas, qu'est-ce que tu fais chez moi? Et où est-ce que tu veux qu'on aille? répondais-je en tentant d'articuler mes paroles alors que ma langue pendait comme prêt à m'enfuir à toute vitesse.
Il lève sa main et il la dirige paume vers le sol, répondant que je devais vite faire mes affaires et que sinon quelque chose allait arriver.
– Mais qu'est-ce qui pourrait bien ar–
Une ombre noire fut visible à travers les carreaux qui transcendent la pièce de plusieurs parties et l'éclair sombre était aussi visible dans les pièces attenantes comme la cuisine ou l'entrée, un léger silence s'est fait avant qu'un énorme bruit se fasse entendre et qu'en un éclat le mur se brise laissant la place à une monstrueuse bête.

Une brume blanche couvre mon visage pendant quelques secondes et le son s'était coupé dans mes oreilles laissant la place à une cacophonie acouphénique dans mes oreilles. Je voyais dehors des ombres s'agiter avant que dans un élan de perspicacité, l'individu qui était venu pour me prévenir me tire d'une main pour me tirer des légers décombres dans lesquels j'étais plongé après l'arrivée de l'entité que je n'ai que trop peu discerné. Je fus tiré vers l'entrée pendant que de sourds bruits se firent entendre à mon dos. Cette fois-ci il n'était plus le temps de réfléchir et de foncer, et à vrai dire, cette entrée en matière était surement celle pour laquelle je m'étais préparée toute mon enfance et ce pourquoi je ressentais quelque part un manque en moi et une multitude de questionnements sur mon existence.

Tout de suite, je ne pourrais pas vous dire la suite, j'ai souvenir d'un long voyage, et de ma maison en lambeaux, je ne me pose pas la question de qu'est-ce qu'il est advenu de mon père ou quoi que ce soit. Ces choses appartiennent au passé. Dès à présent une nouvelle ère commence pour moi et j'espère qu'elle sera à la hauteur du temps attendu.

– Tu l'as échappé belle espèce de dingue, il aurait fallu bouger dès que tu m'as entendu
– Écoute... je ne savais pas qu'on viendrait me chercher pour m'emmener quelque part où je n'ai même pas idée de l'emplacement. Je répondais avec sympathie même si je n'avais pas la moindre idée de ce qui allait advenir de moi. J'étais sur le siège central alors qu'il était sur le siège conducteur. Tout ce que j'imaginais dès à présent était d'aller loin et de me défaire des liens qui m'attachaient à un endroit qui n'était pas miens.

Dernière partie

Après un voyage qui m'a paru interminable il est enfin temps de parvenir à la destination si tant demandée. Mon auditeur qui m'écoutait sur mon parcours s'était presque endormi au volant à la fin de son périple, la fatigue l'avais pris et le parcours était long. À ce titre, je n'ai toujours pas idée d'ailleurs de quelle est mon arrivée et de qui m'y attendra. Je me suis accommodée aux sièges en posant mes mains sur les rebords, me portant dessus. Je regarde devant et la végétation semble s'être changée, le climat n'est plus du tout le même, la verdure hante les lieux contrairement aux zones urbaines dont j'étais familier en Angleterre.

– Où est-ce qu'on se trouve là?
– Là ici mon gars dit-il en frottant ses mains entre elles après avoir arrêté la voiture avec laquelle il devait rouler depuis plus de dix heures qui m'avait permis de faire un somme, t'es arrivé au Camp des Sang-Mêlé.

Sans vraiment comprendre ce que ça signifiait, mon nouvel ami m'éjecte au plus vite de la voiture en me tirant les bras hors de celle-ci. Maintenant qu'il m'avait ramené ici il fallait à tout prix me faire découvrir à Chiron comme un nouveau porteur du flambeau des progénitures de Dieux, mais ce ne fut qu'après que j'appris que toute cette entreprise fut menée pour cette raison. Beaucoup de réponses me vinrent et je su maintenant assimiler mes erreurs et mes complexes.

J'offris ma bénédiction à ma Déesse mère, Nyx, je découvris le camp et aujourd'hui ma vie fut changée par ces interventions. J'ai maintenant dix-sept ans et je me suis fait de nouveaux amis. Seul le futur pourra me donner les futures réponses dont j'aurai besoin. Mais pour le moment, je me contenterai de ce qui s'offre à moi...

« Tout ce que l'humanité cherche, tout ce qu'elle trouvera, existe déjà autout de nous. Il s'agit de le voir. De même que tout ce que diront les génies futurs est dit en nous. »


who i am inside this
TAILLE : 176cm ▬ POIDS : 67kg ▬ ALLONGE : 176cm ▬ COULEUR DES YEUX : Marrons ▬ COULEUR DES CHEVEUX : Marrons ▬ COULEUR DE PEAU Blanche caucasienne ▬
(c) princessecapricieuse
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fearless
Age : 18
Localisation : bungalow 20
Date d'inscription : 24/11/2020
fearless
MessageSujet: Re: ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler ✓    ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler  ✓   Icon_minitimeDim 23 Jan - 19:16

bienvenue dans le MEILLEUR BUNGALOW
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Loane
Date d'inscription : 22/11/2020
Loane
MessageSujet: Re: ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler ✓    ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler  ✓   Icon_minitimeMer 2 Fév - 18:29

Je rêve où t’as volé mon code sans le crédit
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MessageSujet: Re: ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler ✓    ⸻ ᲼᲼Seryozha Laleczynski,᲼᲼the night crawler  ✓   Icon_minitime

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